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Samedi 30 octobre 2021, Thierry Darphin a inauguré la passerelle Truchebœuf, en présence de Charles Barrière, conseiller départemental, de Luc Baudry, président de la Covati, des maires des communes voisines, d'élus issois et des habitants du quartier. Depuis le 1er octobre, cette passerelle est de nouveau accessible au public, piéton ou cycliste, après plus d'un an de fermeture pour des raisons de sécurité.
Samedi 5 septembre, l'esplanade des Capucins a été inaugurée par Thierry Darphin, maire d'Is-sur-Tille et le conseil municipal ainsi que les conseillers départementaux, Catherine Louis et Charles Barrière. Les Issois et les présidents d'associations ont répondu à l'invitation et sont venus nombreux découvrir ce lieu flambant neuf.
À cette occasion, deux concerts ont animé la soirée : la Banda Passifort et le groupe Dr Frazer. Un espace de restauration était également proposé par le Comité de jumelage Waldmohr ainsi qu'un camion itinérant vendant des pâtisseries orientales.
Mercredi 23 octobre, la cérémonie de réouverture du gymnase Anatole-France a eu lieu en fin d'après-midi. Ce bâtiment, entièrement refait à neuf, a été présenté par Thierry Darphin, maire d'Is-sur-Tille, aux élus, aux membres des différentes commissions municipales, aux utilisateurs (associations du Tir à l'arc, Basket, Danseurs de la Tille, les Pompiers et Jeunes sapeurs pompiers, les Gendarmes et l'école élémentaire Anatole-France) et aux entreprises qui ont réalisé les travaux.
Le gymnase, créé en 1969, a accueilli de nombreuses générations d'élèves. Il méritait une grande rénovation de mise en accessibilité pour les personnes handicapées et d'isolation thermique.
L'inauguration officielle du bâtiment aura lieu après la réalisation de l'ensemble des travaux du contrat CAP 100% Côte-d'Or qui comprend la rénovation du gymnase, la démolition de l'ancien centre de loisirs et la rénovation de la cour de l'école Anatole-France. Ce projet est accompagné financièrement par le Conseil départemental de la Côte-d'Or, l'État, le Pays Seine-et-Tilles et le Siceco à hauteur de 480 000 €.
L’espace culturel Carnot accueille jusqu’au 10 novembre une exposition de photos sur le monde minéral et les volcans par Didier Coulichet et Catherine Frochot.
Ces deux photographes sont deux grands voyageurs, deux passionnés des beautés de la nature. Ils composent tous les deux avec les formes et les couleurs que la nature leur offre au gré de leurs voyages pour réaliser de magnifiques photos.
Catherine Frochot sillonne dès qu’elle le peut les volcans en activité des quatre coins du monde et nous fait découvrir aujourd’hui ces paysages volcaniques diverses, parfois paisible, parfois en éruption, parfois sombre, et où parfois émergent des couleurs vives et surprenantes.
Didier Coulichet est quant à lui un passionné de la macrophotographie et du monde minéral. Il photographie les minéraux dans leur détail réalisant ainsi en quelque sorte des paysages du monde minéral, des tableaux colorés aux multiples facettes.
Les deux artistes, par leur regard sensible, dévoilent ainsi des images insolites.
Ce dimanche 22 septembre 2019 a été inauguré l’orgue d’Is-sur-Tille à l’église Saint-Léger.
Cette célébration vient couronner 22 ans de ténacité de l’association pour un orgue d’Is-sur-Tille (AOIS) qui livre aujourd’hui à la ville d’Is-sur-Tille et à la paroisse Is-Grancey un instrument unique, un orgue d’origine anglaise datant de 1886 créé par Banfield. Sa restauration minutieuse et choyée est l’œuvre du facteur d’Orgue Nicolas Martel.
L’inauguration a débuté par les discours de Claude Rousseaux, présidente de l’AOIS, de Thierry Darphin, maire d’Is-sur-Tille, Charles Barrière, conseiller départemental et Anne Liotard représentant l’équipe paroissiale d’animation. Ces discours ont été entrecoupés de chant par les Guides de la deuxième compagnie d’Is-sur-Tille et par la chorale du Vallon, le Chœur des Hommes. Les membres de l’AOIS ont ensuite remis les clés de l’orgue à Thierry Darphin ainsi qu’au père Albert Zougrana, curé de la paroisse puis la plaque commémorative nommant tous les bénévoles et donateurs a été dévoilée.
La messe de bénédiction a été célébrée par le père Albert Zougrana et le père Jean-Paul Clerc. Cette bénédiction a été suivie d’un dialogue émouvant entre le père Albert Zougrana et l’orgue (interprété par Sylvain Pluyaut). Le grand orgue d’Is-sur-Tille a ensuite pris ses fonctions.
La journée s’est terminée par le concert inaugural du grand orgue anglais par Sylvain Pluyaut, organiste titulaire du grand orgue de la cathédrale de Dijon, professeur d’orgue et improvisation au Conservatoire à rayonnement régional de Dijon et avec la participation de la chorale Arioso et des professeurs de l’école de musique Les 1000 et une notes, sous la direction de Pierre-Jean Yème, professeur de flûte traversière au Conservatoire à rayonnement régional de Dijon, tuteur pédagogique pour l’école supérieure de musique Bourgogne-Franche-Comté et directeur de l’école de musique de la Covati.
Is-sur-Tille, ses êtres et ses pierres, 30 ans après.
Marc Jeudy présente jusqu’au 10 juin à l’Espace culturel Carnot son exposition « Is-sur-Tille, ses êtres et ses pierres, 30 ans après ». Le photographe issois, de renommée nationale propose à travers différents clichés de se replonger près de 30 ans en arrière. C’est avec beaucoup de nostalgie et d’émotion que les visiteurs peuvent découvrir tous ces portraits d’hommes et de femmes dont certains ne sont plus là aujourd’hui ainsi que différents lieux d’Is-sur-Tille qui ont bien changé. Marc Jeudy a immortalisé ces visages, ces lieux, ces instants de vie avec beaucoup de cœur, talent et sensibilité. À travers cette exposition, les souvenirs remontent à la surface.
L’Espace culturel Carnot accueille l’exposition « de l’Atlantique au Pacifique » de Popi Tawen jusqu’au 5 mai.
Popi Tawen illustre à travers cette exposition de dessins et photos un long voyage de deux ans et demi à travers le Pérou, la Bolivie, la Colombie, l’Équateur, l’Argentine, le Mexique et le Chili.
C’est au départ de cette longue aventure en Amérique du Sud, dans l’aéroport de Madrid où elle faisait escale, que notre artiste a sorti un crayon et une feuille de papier et a commencé à dessiner pour patienter. Depuis, elle n’a plus lâché le crayon.
Ses dessins minutieux et curieux sont le fruit d’un imaginaire surréaliste construit à partir d’observations, de contemplations de paysages, d’animaux, de plantes, de personnes, ou de sensations.
Les carnets de dessins également exposés sont devenus des compagnons de route à travers ces différents pays.
Popi Tawen : « mes dessins sont parfois un peu froissés, ils ont survécu à l’humidité des saisons de pluies et à la sécheresse des déserts de sable et de sel, à l’eau salée des Caraïbes et aux fermentations de maïs, aux traces de pattes de chats, chiens, cochons, opossums, cafards et colibris. Mes dessins ont vécu heureux, je crois ».